mardi, mai 09, 2006

Mrs Dalloway de Virginia Woolf

Mrs Dalloway de Virginia Woolf

Quel beau livre que ce récit de Virginia Woolf qui raconte une journée dans la vie de Clarissa Dalloway, une londonienne de cinquante-deux ans, femme du monde et maîtresse de maison parfaite. Tout commence lorsque Clarissa doit sortir acheter des fleurs pour la soirée qu’elle donne le soir même en l’honneur de son mari, Richard Dalloway, un parlementaire conservateur, sérieux, bon garçon, un homme terne sans une lueur d’imagination. Elle parcourt les rues de Londres par une belle journée claire et lumineuse et fait la rencontre de Hugh Whitbread, un gentleman ami d’enfance, poseur et obséquieux, occupant un petit emploi à Buckingham Palace. Elle l’invite à sa soirée et continue jusqu’à la boutique du fleuriste Mulberry dont elle pousse la porte et entre légère et très droite. De retour à la maison, Clarissa reçoit la visite de Peter Walsh, un gentleman aventurier et sentimental de cinquante-trois, faisant également partie de ses amis d’enfance et qui a failli devenir son mari. Sans vraiment oser l’admettre, Clarissa en est toujours profondément éprise mais cache ses sentiments sous une couche de bonne éducation. Peter Walsh est un original, renvoyé d’Oxford et issu d’une respectable famille anglo-indienne. Il a la réputation d’être un raté excentrique. Clarissa l’invite à sa soirée. Clarissa n’a qu’une fille de dix-sept ans, Elizabeth, très grande, plutôt belle, brune avec de beaux yeux chinois dans un visage pâle. Tous les hommes tombent amoureux d’elle ce qu’elle trouve profondément ennuyeux. Elizabeth étudie l’histoire avec un professeur privée, Miss Doris Kilman, une femme d’une quarantaine d’années, intelligente mais lourde, laide, commune et sans grâce ni beauté. Miss Kilman est d’origine allemande et très pauvre. Elle déteste Clarissa Dalloway qu’elle juge frivole et légère.

Plusieurs autres personnages sont invités à cette mémorable soirée : Sally Seton, la meilleure amie d’enfance de Clarissa, devenue Lady Rosseter, âgée de cinquante-cinq ans et qui a épousé un homme chauve, fils de mineur et possédant des filatures à Manchester. Il y aura aussi tante Héléna, la sœur du père de Clarissa, une vieille dame de plus de quatre-vingt ans, botaniste réputée, amoureuse de l’Inde et grande voyageuse dans sa jeunesse. Ellie Henderson est également invitée. C’est une cousine pauvre de Clarissa, une créature de rien du tout avec une pauvre chevelure et un profil maigre. Âgée d’une cinquantaine d’années, elle vit dans la misère, étant incapable de gagner un sou. Elle doit mettre un châle sur sa vieille robe noire pour assister aux soirées. Lady Millicent Henderson assistera aussi à la soirée. Une dame du monde âgée de soixante-deux ans, s’intéressant à la politique plus qu’aux gens et parlant comme un homme. Elle est fière de sa famille d’officiers et d’hommes d’États et vit au premier rang de son époque. C’est une patriote enragée et connaît les hommes les plus remarquables de son temps. Sir William Bradshaw se rendra tard à la soirée de Clarissa. C’est un médecin prospère, spécialisé en psychiatrie, ayant travaillé dur pour conquérir sa situation.

Il est évident que le roman de Virginia Woolf en est un de personnages avant tout. Mais c’est aussi un roman de souvenirs et de réminiscences. L’auteur nous dévoile les pensées les plus secrètes et les réflexions sur la vie, le passage du temps, les regrets et la nostalgie enfouie au plus profond de chacun des personnages. Tout ce qui constitue l’essence de l’âme humaine procure à Virginia Woolf une matière inépuisable pour écrire. La nostalgie de l’enfance, de l’adolescence, des premières amours et du choix que chacun a fait pour construire sa vie. Un roman d’une admirable beauté qu’il faut lire absolument.

47 commentaires:

Anonyme a dit...

Je découvre tout juste votre blog et j'aime énormément les billets que vous écrivez!
Ce livre, Mrs Dalloway, est un de mes préférés... :)

Anonyme a dit...

Qui se suicide dans ce roman?

Anonyme a dit...

C'est Septimus Warren Smith qui se suicide, un jeune militaire qui souffre depuis son retour du Front, d'hallucinations et de schizophrénie. Ce jour-là, il se défenestre au moment où le médecin qui le soigne cherche à l'interner. Or, ce même médecin se trouve être un des invités à la soirée de Mrs. Dalloway, et quand il mentionne devant elle cet événement, Clarissa se retire à l'écart, bouleversée par le choix de ce jeune homme que, pourtant, elle ne connaît pas.

Anonyme a dit...

I coulԁn't refrain from commenting. Very well written!

My site :: credit counseling

Anonyme a dit...

Merci, grâce à vous je pourrais connaitre l'histoire sans finir cette torture littéraire qu'est Mrs Dalloway. Contraint et forcé de le lire pendant l'été, j'en suis à la page 125 et c'est un vrai calvaire. Aucune intrigue, bref chiant à mourir.

Anonyme a dit...

Je trouve votre résumé excellent, ce roman m'a beaucoup plu et le style de Virginia Woolf est si originale, d'ailleurs je viens de constater que les événements se déroulaient en une journée

Anonyme a dit...

" Merci, grâce à vous je pourrais connaitre l'histoire sans finir cette torture littéraire qu'est Mrs Dalloway. Contraint et forcé de le lire pendant l'été, j'en suis à la page 125 et c'est un vrai calvaire. Aucune intrigue, bref chiant à mourir. "

Tout à fait d'accord avec vous, car étant moi même dans cette situation =)

Anonyme a dit...

haha je suis dans la meme situation :P

Anonyme a dit...

Ahah prépa quand tu nous tiens !

Anonyme a dit...

Mdrr bienvenue en prepa.
En fait , chui dans la meme merde

Anonyme a dit...

c'est une torture , il faut organisé un autodafé !

Anonyme a dit...

Même situation que vous . Je galère :/

Anonyme a dit...

Merci bcp, c'est très bon résumé qui englobe les évènements majeurs de l'histoire, une petite question SVP: quelle est la relation entre Mrs Dalloway et Septimus Warren Smith dans ce roman?
Merci d'avance.

Anonyme a dit...

On s'endort toutes les 10 pages, ya trop de mots pour pas grand chose... signe que le temps qui passe est différent du temps décrit (dans notre cas le temps qui passe est bien plus long que le temps décrit).

Anonyme a dit...

Très mondain et cucu la praline : voilà ce que je retiens de ce "chef d'oeuvre", qui n'est rien d'autre qu'une expérimentation littéraire de plus parmi les bizarreries déjà existante...

Merci la prépa !

Anonyme a dit...

Vas lire Sylvie il est plus court lol

Anonyme a dit...

Romain aym**c un pigeon!!

Anonyme a dit...

Certes mais Sylvie est beaucoup moins interessant, dévoile un univers beaucoup plus pilloné de symboles et de références oiseuses que le chef-d'œuvre déjanté de Woolf...
Sinon je ne vois pas ou l'on peut vraiment parler de reminiscence dans cet ouvrage car a aucun moment les personnages ne cherchent à retrouver un eventuel passé qui aurait précédé leur naissance ; hormis, evidemment, Septimus.

Que pensez vous de Bergson sinon ?

Anonyme a dit...

Certes mais Sylvie est beaucoup moins interessant, dévoile un univers beaucoup plus pilloné de symboles et de références oiseuses que le chef-d'œuvre déjanté de Woolf...
Sinon je ne vois pas ou l'on peut vraiment parler de reminiscence dans cet ouvrage car a aucun moment les personnages ne cherchent à retrouver un eventuel passé qui aurait précédé leur naissance ; hormis, evidemment, Septimus.

Que pensez vous de Bergson sinon ?

Anonyme a dit...

Justement, il faut bien retenir de Woolf la critique d'une mondainité superficielle qui masque la realite de notre etre profond a chaque instant menace de sombrer dans la folie. L'opposition entre temps autoritaire objectif et temps vecu subjectif marque bien que la durée est une substance insondable, mysterieuse.

Cordialement, moi qui rentre aussi en prepa mpsi. :)

Batal a dit...

Bonne chance pour les etudiants des prépas...je leur conseille d'abord de lire Essai... De Bergson pour saisir la différence entre le temps physique..objectif..ponctué par des intervalles et le temps vécu..subjectif...continu dans notre conscience..et présent dans tous les étas de conscience...et par la suite Sylvie de Nerval simple d'apparence mais profond à maints égards car il incarne intelligemment ce retour au passé par la spatialisation du temps vécu et par la ponctuation des souvenirs epars paradoxalement continus dans la conscience du narrateur et son moi interieur...Pour Mrs Dallowy de V.W c'est plus ou moins diffocole à lire car il est encombrant et touffus d'évènements dits à mi-voix,interieurement dans un discours indirect libre bien ficelé ou le monologue interieur rime avec une réalité vécue tantôt gaie tantôt suspiscieuse,où parfois le temps vécu ne revèle pas seulement les états de consciences des personnages et leur réalité quotidienne mais dévoile également leurs affinités affectives passées qui demeurent et persistent et durent dans leur moi interieur comme des personnages à part entière qui ne sont pas necessairement schizofrènes ou paranoïques mais normaux aux sens psychanalytiques des termes...menant leur vécu dans un espace ou des espaces qui leur conviennent...je ne dirai pas plus...avec vos profs vous aurez le temps d'en discuter longuement..merci

Anonyme a dit...

N'y aurait-il pas plutôt, chez Woolf, un rapport discontinu à la durée dans le sens où il est impossible de saisir pleinement le moment vécu, d'être parfaitement soi... ? Entre traumatisme de la guerre pour Septimus, experience saccadée et rythmée par de nombreuses "coupures" pour Clarissa, divergence des points de vue concernant l'objectivité du temps ebranlé par la subjectivité des personnages... le temps s'annonce multiforme, complexe certes mais discontinu.
Enfin voila un des sentiments intriguants que ce livre m'a laissé ! Serait ce une "opposition" a Bergson ou un travail consistant a enrichir sa pensée ?

Batal a dit...

Je suis d'accord avec toi...le temps vécu ds Mrs Dallowy est certes complexe...apparemment discontinu..divergent...scandé par des coupures mais s'apparente à la pensée bergonsienne par la continuité du temps subjectif...celui de l'instantané figé dans la conscience des personnages comme hier..au présent ou se projetant dans le futur....

Anonyme a dit...

oh la la j'ai tellement pas hâte d'etre en prépa, rien qu'à voir les commentaires de certains j'ai un échantillon de ce qui va m'attendre à la rentrée

Anonyme a dit...

un beau ramassis de tarés qui parlent deja la langue de bois, du genre "Cordialement, moi qui rentre aussi en prepa mpsi. :)" mon dieu j'ai peur

Unknown a dit...

Je rentre également en prépa, en ce qui concerne le livre de Bergson, j'ai beaucoup de mal à le lire. Je n'aime pas beaucoup la philosophie. Ce qu'il dit est vrai mais très compliqué à expliquer.

Unknown a dit...

Je rentre également en prépa, en ce qui concerne le livre de Bergson, j'ai beaucoup de mal à le lire. Je n'aime pas beaucoup la philosophie. Ce qu'il dit est vrai mais très compliqué à expliquer.

Anonyme a dit...

Livre lu :) certes c'est chiant comme la mort mais bon quand tu fais des élypses descriptives ça passe

Mais j'ai une question : comment interpretez vous la fin ?

Anonyme a dit...

Hey les condamnées à la lecture forcée dont je fais malheureusement partie... Merci du résumé, je me suis arrêté à la 40ème page, un concentré d'ennui ce livre, j'ai pas hâte de commencer les 2 autres --'.

Anonyme a dit...

Ah et une dernière chose, si ça peut aider les flemmards de prépa comme moi, voilà un résumé plus détaillé et analysé :

http://fr.scribd.com/doc/96777418/Woolf-Virginia-Mrs-Dalloway-fiche-de-lecture

Anonyme a dit...

Merci beaucoup pour ce résumé, étant aussi en prépa j'ai lâché le roman avant la page 100 (comme l'on dit certain on s'endort toutes les 10 pages mdr ^^ ).
Quoi qu'il en soit je trouve très sympa les personnes qui dépensent un peu de leur temps pour les autres sans rien attendre en retour.
UN GRAND MERCI A Dirlandaise !!!

Anonyme a dit...

Un grand merci, et je vois que je suis pas seul dans la galère de prépa. Pour ceux qui n'ont pas encore lu Bergson, c’est par moment un style un peu dur mais plutôt vulgariser comparé à certains essai philosophique que j'ai déjà pu voir. De plus ce qu'il dit est très intéressant (et vu mon amour profond que dis-je, passionné pour la philo, c’est beaucoup dire)

Anonyme a dit...

Ah, les prépas MPSI se plaignent de Mrs Dalloway ? Il s'avère qu'on a aussi à le lire en hypokhâgne... En anglais.
Et croyez moi, c'est beaucoup plus emmerdant !
Merci pour ce résumé, ça fait toujours un bouquin de moins !

un professeur de prépa qui a hâte de rencontrer de tels étudiants... a dit...

Si vous n'aimez pas vous cultiver, êtes incapables de lire un livre en entier en prépa S ou L (peu importe qu'il vous plaise ou non), que vous dites d'une oeuvre que "c'est de la merde" tout en faisant des fautes dans vos messages, je vous signale juste en passant qu'il y a des cursus en France fort adaptés à votre profil : ça s'appelle les SEGPA. Ah non, mince, même à eux ça leur arrive de lire des bouquins en entier.

Anonyme a dit...

J'ai décelé une légère, je ne dirais pas erreur, mais plutôt anomalie qui rend la lecture de ce résumé plus ardue.
Tous ça pour dire que certains mots, comme "Clarissa" sont répétés trop de fois de suite et que c'est légèrement agaçant...

Sinon, je conseil en effet de lire Bergson en premier. Même si ça peut paraitre compliqué principalement à cause du fait que ce n'est qu'un extrait de l’œuvre, et donc qu'il manque l'introduction et la conclusion (ce qui à comme principale conséquence de perdre le lecteur), l’œuvre et uniquement basé sur la compréhension de la notion de temps, se qui peut faciliter la lecture des deux autre, mais surtout familiariser le lecteur avec cette notion du temps et ainsi lui permettre de retenir que le nécessaire.
Pour ma part, j'ai ensuite essayé de lire Virginia Woolf, mais j'ai abandonné, mais ainsi, Nerval me parait tellement plus intéressante à côté et tellement plus facile à lire.

Bien du courage à tous dans vos classes préparatoires respectives. (héhé, c'est facile la langue de bois quand on à le temps d'y réfléchir)

Un étudiant qui à hate de rencontrer un proffesseur aussi ouvert d'esprit a dit...

Mon cher professeur de prépa, c'est fou ce que les gens remarque principalement les aspects les plus négatifs d'une personnes...
Vous remarquerez en effet que personne ne dit "c'est de la merde" et que les faute d'orthographe sont plutôt rare sur ce site par rapport à ce que l'on peut trouver partout ailleurs. Enfin, ce livre est "chiant", réellement ! Il s'agit d'une œuvre d'une autre époque et qui plait très peu actuellement. De plus, l'auteur à écrit cette œuvre de manière à se qu'elle soit ennuyeuse, donc il n'est pas étonnant que des jeunes, pour qui l’œuvre n'était pas destinée, trouve ce livre CHIANT à mourir. Enfin, Bernard Brugière le dit lui même dans ça préface que ce livre, ou "bouquin" si vous préférez, est sans aucune intrigue, sans aucune histoire et donc par conséquent, mortellement chiant pour des jeunes qui recherchent tout le contraire.
La culture, c'est bien, mais il y a un age pour chaque chose ! Donc allez faire lire des livres écrits pour des personnes d'un certain age à ces même personnes svp !

Pour les fautes d'orthographe, je suis dyslexique, merci de votre indulgence...

Anonyme a dit...

Bonjour , je suis de meme en prepa . J ai récemment finit de lire les 3 oeuvres au programme . J ai beaucoup aimé Mrs Dalloway , c est un roman qui retrace avec une sensibilité et une perception incroyable les etats de conscience des personnages ; certe il m a pris le plus de temps car fallait le lire a la vitesse dont il est ecrit ( et saisir chaque emotions et chaque pensee en temps reel ) , mais j ai vrm senti les personnages Le Bergson n est pas vrm tres difficile , j ai senti que j etais entrain de lire une démonstration mathématique tres rigoureuse ! On peut resumé le lire avec des fiches ou l on notera les notions et définitions que propose le livre ( 5 ou 6 au total ) , c est tout . Le Nerval était de tres loin le moins intéressant .. Il trop XIII eme siecle , surtt avec la desciptions des endroits et les symboles , je pense que je devrais attendre pour le comprendre en cours .

Anonyme a dit...

Dit toi qu on va arriver pour tomber sur des gens qui auront déjà fiché et lu 2 fois tous les livres, c est la mort...

Anonyme a dit...

jai encore rien lu, Mrs dalloway c'est une daube internationale j'en peux plus, inlisable, l'autre Bergson se prend énorment la tête avec ses histoires de temps ect ya mieux à faire qd mm pas touché à nerval encore. bref grand cru stannée....

Anonyme a dit...

Mmhh premiere matiné de dst demain matin sur les trois bouquins ! Je m'en sort inextremiste ! Merci pour toute les infos ! (Perso j'ai trouvé Bergson plus facile a lire que ce livre qui m'a servie d'assomeur de mouche cette été...)

Anonyme a dit...

Non t'inquiete pas, se livre a servie de somnifère a quasiment tout les etudiant, je peuse que c'est une idée du conseil pour nous faire bien se reposer avant cette année écrasante...

Anonyme a dit...

Septimus Warren Smith est l'antagoniste caché de Dalloway. Il represente la partie incobsciente, intemporelle et irrationnelle du duo. Autant Dalloway est claire et organisé dans sa journée, autant Septimus denonce l'absurdite de l'existence avec une remarquable folie. Paul Ricoeur dira meme que le suicide de Warren Smith permet a Clarissa d'achever sa journée dans la nouvelle, comne peut etre une acceptation de la fin... Enfin, beaucoup d'interpretations peuvent lier les deux personnages.

Anonyme a dit...

Par respect pour tout ce que represente l'auteure, l'humanite qu'elle a laissé dans son livre, je te prie de moderer ton temperament virulant, fougueux et grossierement infondé.
La haine subjectivement eprouvee au cours de cette lecture par ta petite personne ne reflete bien entendu pas toute la communaute des jeunes qui necessairemebts n'ont pas le meme facon, si precipitee et effronte soit elle, de considerer une oeuvre comme tu tentes de le faire.

LightningBrony a dit...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Anonyme a dit...

Non mais faut pas déconner, ce bouquin c'est de la merde et ça suce des queues.

Anonyme a dit...

Ce livre est peut être très très ennuyeux et soporifique pour des jeunes en prépa (j'en fait partie) mais ça ne donne à personne le droit de parler aussi mal et de facon aussi inutile ! Certains aiment ce roman et ils ont le droit merci de les respecter un minimum, eux et le livre.

Anonyme a dit...

Je découvre en même temps que ce résumé fait par une personne motivée par le plaisir de lire les commentaires des lecteurs "forcés" de classes prépas. J'apprécie ceux qui écrivent "les fautes sont plutôt rare (sic) sur ce site"... Je leur dis ceci :
1- vous n'êtes pas obligés de vous intéresser aux oeuvres au programme, surtout si vous allez en prépa pour échouer (bizarre).
2- tout est "chiant comme la mort" dans cette vie à commencer par vos copies merdiques que les profs de prépa doivent lire, surtout celles de ceux qui écrivent ainsi!
3- un peu de patience, bientôt personne ne vous demandera plus de lire quoi que ce soit, ce sont vos derniers livres dans votre vie, ensuite vous ne lirez que vos factures...
4- comprendre en quoi une grande oeuvre est une grande oeuvre fait de vous des gens plus grands. Dommage, c'est raté on dirait....
Bef cessez de vous plaindre et allez bosser à votre propre réussite... V. woolf a raison lorsqu'elle fait dire à Clarissa : "elle avait perpétuellement le sentiment qu'il était très, très dangereux de vivre, ne fût-ce qu'un seul jour".... Surtout en la compagnie des aigris de la prépa... Bossez bien sinon vous reprenez trois oeuvres nouvelles en 3ième année et vous ne les comprendrez pas mieux...